POLAR
36 QUAI DES ORFÈVRES, 15 ans après
A MOST VIOLENT YEAR, presque top...
APPORTEZ-MOI LA TÊTE D'ALFREDO GARCIA, brut de décoffrage
BAC NORD, le polar français bouge encore
BALADE ENTRE LES TOMBES, Liam blues
BLUE RUIN, pur et brut moment de cinoche
CARTEL, l'incompris de Sir Ridley
COLLATERAL, quand Spinaltap tape dans le magnétique
COMANCHERIA, les raisons de la colère
DE GUERRE LASSE, pour la beauté du geste
FARGO, avis express (mais tellement culte)
GONE GIRL, le cauchemar américain
HANNIBAL (2001), la belle et la bête
INSOMNIA (avis express pour une nuit blanche)
JACKIE BROWN, Quentin Save the Queen !!!
KILL BILL (1&2), and all is right in the jungle
KILL LIST, avis express (et bien flippé)
KILLER JOE, avis express et bien sonné
L' ANGLAIS, tell him i'm fucking coming !
L'AMI AMÉRICAIN, atmosphères ...
L'ÉVADÉ D'ALCATRAZ, un coupe-ongles et un grand film
LA NUIT DU 12, avis express (mais tous coupables)
LA NUIT NOUS APPARTIENT, au nom du père
LE CAIRE CONFIDENTIEL, faut pas exagérer ...
LES ANGES DE LA NUIT, comme une bonne odeur de clope
LES ARDENNES, ce pays n'est pas pour les autruches
LES ARDENNES, OneLove en a perdu son protège-dents
LES FLICS NE DORMENT PAS LA NUIT, rien n'a changé
LES LYONNAIS, travail d'orfèvre
LIVE BY NIGHT, Little Godfather
MAN ON FIRE, le Denzel-polar définitif
MIAMI VICE, manifeste artistique
MOJAVE, Spinaltap ne conduirait jamais sa jeep comme ça !
MYSTIC RIVER, we bury our sins here
NO COUNTRY FOR OLD MEN, jusqu'à l'os
POINT LIMITE ZERO, Spinaltap à fond la caisse !
POLICE FÉDÉRALE, LOS ANGELES. Spinaltap s'attaque au ferment du néo-polar
QUAND VIENT LA NUIT, Roskam goes to america
RAMPART, Harrelson confidential
RIDERS OF JUSTICE, la vengeance est un plat aux mille saveurs
SEVEN, have you ever seen anything like this?
SICARIO : LA GUERRE DES CARTELS
SICARIO, le territoire des loups
THE STRANGER, leçon de ténèbres
THE TOWN, Spinaltap est sensible aux traditions familiales
TRUE ROMANCE, Spinaltap dans les hautes sphères du culte
UN HOMME TRÈS RECHERCHÉ, Adieu Seymour
UNE PLUIE SANS FIN, le temps est assassin
WIND RIVER, "Luck don't live out here"